Table des matières

en travaux !!!!!!!!!!

Les Ateliers populaires

Nom à défaut …

Ici débute un travail de recherche et de réflexion qui a pour but la mise en place d'une organisation de travail:

Idées sous-jacentes

transformations sociales

Dans le contexte des pays industrialisés, le citoyen à été éloigné de ses outils de production et de la création ou maîtrise de ses propres moyens d'existence en même temps qu'il à été rendu dépendant aux techniques, transport,communications, administration, commerces etc, le liant à un système déshumanisant.

Des mouvement, par réaction politique, ou par simple pragmatisme tentent de multiples voie de ré-appropriation de leur environnement. On voit surgir des structures dans des mouvements transversaux, conjuguent arts, technique , pratiques et politique, ils revendiquent le droit et le pouvoir de la connaissance et utilisent le partage comme outil de création. André Gortz parlait d'atelier communal, nous voyons naître pelmel fablab, hacking space, bricolab, … , atelier mécanique, nouveaux mouvements d'éducations populaire.

Les expériences qu'ils vivent, à l'instar de celles des mouvements populaires de 68 ou de ceux des logiciels libres ouvrent des portes à de profonds changements.

A propos

éducation populaire

Des approches pratiques

Il existe une multitude de chemins plus ou moins expérimentés.

Le premier constat, est que

  1. soit la structure a besoin d'argent, pour payer ses salaires, son lieu, son matériel et elle reste dans la nécessité de gagner de l'argent pour vivre, c'est a dire rester dans le système habituel. Cela même si la pêche au subvention fonctionne assez bien.
  2. soit elle n'a pas de charge donc est libre de son organisation, pas ou très peu d'aide ou de subvention directe
  3. dans ce cas, soit elle reste sans objet économique directe, communauté internet, voir structure d'une ou deux personnes sans besoin pécunier.
  4. soit elle demande à ses adhérents de supporter ses coùts.
    • en interne, l'atelier mécanique Nantes , les AMAP
    • avec en plus des apports extérieures, la kitchen, la cantine, H5. Apports privés (buizness, pub) ou publiques .

Les points positifs à reproduire:

….

écriture d'une économie

Quelle économie est mise en place ?

Une économie liée à la connaissance :

Une économie plus classique, toujours locale :

Rapport aux coopératives municipales

L'Atelier tient à son indépendance, il n'y a pas de relation de dépendance avec l'institution, municipale ou autre, c'est l'ensemble des réseaux et des participants qui constituent le coeur de la structure. L’auto-gestion est un principe de base. Une municipalité ou une structure institutionnelle ne sera présente qu'au même niveau qu'un personne extérieur, ne représentant qu'une voix.

Cela différencie totalement l'atelier populaire de l'atelier ou la coopérative municipal!

Rapport aux SELT

Si il peut être vraiment intéressant d'opter pour des échanges de type SELT, il faut sans doute donner le choix aux participants de le faire ou non, par contre si il y à bénévolat cela sera toujours dans le but d'une valorisation en temps. Un véritable SELT peut être organiser mais doit rester indépendant de l'atelier.

Voir aussi les Réseau d'échange réciproque de savoirs,économie reliante

Expérimentation d'organisation

L'Atelier est au centre de la première phase, c'est le lieu des propositions. A la fois lieu physique de rencontre et d'échange d'idée, et lieu 'virtuel' de présentation pour rapprocher les personnes grâce à un site internet. Le creuset et la galerie.

Soit le projet est définit

Celui ou le groupe qui propose, sait où il va, ce qu'il faut faire, les besoins, la dead line éventuellement…

  1. Inscription du “proposeur” du projet, qui indique:
  1. L'Atelier communique, organise une rencontre, dès que le seuil humain mobilisable est atteint. Les 'coûts' et 'bénéfices' sont discutés, soit de façon assez classique avec n rapport à une valeur monétaire, soit comme dans un SELT en valeur temps. Dans le cas de ce qui ressemble à un chantier participatif, on fera attention à qui profite l'expérience.
  2. Le projet est lancé

Un thème peut éventuellement être choisit (sur le trip des contes, pirates… Amenant des visuels)

Une simple page est faîte avec le suivi du projet et éventuellement présentation audio/video ?

Soit le projet est définit, mais on sait pas trop comment y arriver...

  1. Inscription du “proposeur” du projet, qui indique:
  1. L'Atelier communique, encourage à participer, organise une rencontre, dès que le seuil humain mobilisable est atteint. Dans le cas d'une expérimentation les coûts seront réparties entre les participants mais aussi discuté.
  2. Le projet est lancé

Un thème peut éventuellement être choisit (sur le trip des contes, pirates… Amenant des visuels)

Des méthodos sont proposées (pour ce genre de cas Méthode 5 M, de 5 en 5…au choix pour de projets pas trop rigoureux) ? Pour des projets plus long et rigoureux : 7 step méthod ?

Plusieurs page sont faîtes avec le suivi du projet et éventuellement présentation audio/video ?

  1. Page : Description du projet, membres…
  2. Page : Méthodo ammenant à une listes de tache, dates…
  3. Page : Qui, quoi, pour quand, tableau récapitulatif
  4. Page : Avancées du projet, notes…

Un schéma !!

Exemples d'organisation

Un schéma !!

ex 1: personne demande un coup de main pour la construction d'un truc

Fluxs

Dans les cas habituels, les échanges se font de personne unique à personne unique, il n'y pas de problème de répartition

nouveau participant

Réservoir

passés, des temps promis parce que déjà reçus par ailleurs, des attentes à satisfaire en premier lieu.

cas 'stages', atelier ouvert, workshop

V1

  1. Le budget en argent est partagé par les usagés et géré par le questeur/référent
  2. Le temps collectif est maximisé :
    • Les personnes ressources donnent T et peuvent recevoir T
    • Les participants re-donnent T/2 et s'engage à le donner, ainsi a partir de 3 personnes le projet devient un réservoir de temps disponible pour d'autres projets !
  3. Chacun note dans son carnet de liaison ce qu'il a donné et reçu, signé par les donateurs.
  4. Le référent du projet note aussi les unités promises ainsi crée afin de les distribuer lors des futurs réunions. On pourrait en laisser une trace localement sur un panneau.

V2

cas 'coups de main'

C'est lors de la première réunion qu'on pose les échanges, mais à priori :

  1. Le budget en argent est géré par le questeur =? demandeur
  2. Les participants ressources au nombre de P donnent T et recevront entre 0T (bénévole) T/2 ou T, un réservoir conserve les crédits de temps personnel si les temps ne sont pas directement échangés. Tout est noté sur le carnet de liaison.
  3. Les bénéficiaires ont récolté l'ensemble des temps et devraient en re-donner la moitié, même dans le cas d'un bénévole, dans ce cas le temps est mis au réservoir.
  4. Un réservoir autres est utilisé pour puiser le reste si besoin est.
  5. Chacun note dans son carnet de liaison ce qu'il a donné et reçu, signé par les donateurs.
  6. Le référent du projet note aussi les unités du/des réservoir(s) ainsi consommés ou mise à disposition en accord avec les gérants de réservoir. On pourrait en laisser une trace localement sur un panneau.
  7. une reunion en fin, bilan, fait le point si les demandes sont satisfaites ou non, on note les promesses de temps

cas général

genre marché

tentative 1

Une idée du Collectif

L'idée de 'réservoir' présentée avant reste assez vague. Je propose de le penser comme 'réservoir pour le collectif', comme une prise en compte de la partie collectivité. Il parait plus évident de collecter du temps à faire ou à devoir si on le fait pour le collectif. Ainsi si on prend le collectif,ou la collectivité, comme un participant, avec un carnet de liaison, on peut mieux accepter les différents échanges.

Le sens de collectivité est plus large que le projet collectif qui se regroupe autour d'une action, on devra sans doute la borner. Nous pouvons aussi la nommer groupe, réseau, voir jour de marché ?

Jour de Marché

Ainsi il y a le Jour de Marché, où se font et se défont les projets collectifs ou individuels.

A chaque niveau il y a un carnet de liaison. Celui du Jour est actionné par les initiateurs des projets collectifs; ceux des collectifs ; ceux des participants. Si tous les échanges sont satisfaisant, alors il n'y a pas de carnet du Jour de Marché.

Toutes les actions de temps qui ne s'équilibrent pas entre les participants sont notées sur le carnet de l'action collective

Toutes les restes de temps qui ne s'écoulent pas à l'intérieur du sous-groupe collectif peuvent êtres transférés sur le carnet du Jour. Cela permet de passer du Temps entres les actions et prend en compte la notion de collectivité ( temps à recevoir ou à donner à travers les jours)

En fonction de la première rencontre du Jour de Marché on décide des échanges

Chacun devra repartir avec un carnet de liaison à jour et satisfait ! ( pas de méthode )

Juste à respecter en principe:

??.?? a suivre

Catalogue, premier jet

le catalogue des possibles

Remarques en vrac

Liens explorés

On lira au sujet des SEL :

Essor et faillite des réseaux de “troc” en Argentine : http://revista-theomai.unq.edu.ar/numero12/art_mallard_12.htm